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Il n'est pas surprenant que le cadre compétent et l’artisan des acquis réalisés au niveau des différents départements gouvernementaux, dont il s’est vu confier la direction, en l’occurrence le ministre Dy Ould Zein, ait sa part d'attaques de mouches électroniques, qui ne s’acharnent habituellement, que sur les responsables dont les actions sont couronnées de succès voire même d’exploits sans précédents dans l’exercice de leur mission, fermant pourtant les yeux et taisant leurs langues venimeuses sur les déboires et échecs des ratés.
Aucun fils de la Patrie, à plus forte raison les meilleurs qui ont laissé leur empreinte indélébile dans le chantier de construction et d’urbanisation, bardés de leurs diplômes supérieurs, leurs compétences, leur professionnalisme et leur dévouement au service de la nation, n’a été épargné par ces viles attaques.
Le fait que les acquis réalisés par le ministre Dy Ould Zein sont les plus nombreux, palpables et visibles, pour être énumérés tous Ici, nous interpelle à s’arrêter à quelques-uns, relevant du dernier Département dont il avait la gestion, à savoir celui du Développement Rural, avant de nous tourner vers celui des pêches et de l’économie maritime, au niveau duquel, les réalisations se poursuivent encore à un rythme prometteur à la grande satisfaction des opérateurs du secteur.
Si nous prenons à titre d’exemple, le cas de la wilaya de l’Assaba, pour ce qui concerne les interventions du ministère et en quelques mois de la direction du Ould Zeine dudit portefeuille, force est de reconnaitre que plusieurs projets initialement programmés par le Département au niveau de cette wilaya, qui comprend la deuxième plus grande ville du pays après la capitale, Nouakchott, ont été réalisés.
18 sur 50 unités de manufacture laitière avaient été achevées, 10 sur 18 marchés de bétail et 147 sur 188 fermes de vaccination du cheptel avaient été construits, en plus de la construction de 7 sur 80 bureaux vétérinaires, de 2 sur 27 enclos d’abattage, de 17 sur 62 stations pastorales et le forage de 15 sur 98 puits artésiens programmés au niveau de cette wilaya.
Cela sans compter le développement spectaculaire enregistré par le secteur agricole au nveau des wilayas de la vallée et la culture des palmiers au nveaux des wilayas de l’Adrar, du Tagant et de l’Assaba, qui ont tous contribué, à réduire l'importation de nombreux produits de consommation de base.
Si l’on regarde également, le secteur de ‘l’élevage, on constate sans peine, que sous la gouvernance du ministre Ould Zein, la première foire nationale d'élevage, jamais organisée dans le pays, a été ouverte dans la ville de Timbedra dans le Hodh Charghi.
Un évènement grandiose de portée nationale qui s’est accompagné de la création d’établissements et de caisses dont la mission est axée les objectifs de développement et d’intégration du potentiel animal dans le cycle économique du pays.
Quant au secteur des pêches et de l’économie maritime, dont Dy a la charge actuellement, la gestion du ministre s’est distinguée par l’adoption d’une stratégie efficace et efficiente, qui a toutes les chances de propulser le secteur de l’avant et de lui insuffler une dynamique permettant, grâce à la concertation avec les opérateurs des pêches, de hisser son rendement au plan national.
Ould Zeine a imposé par ailleurs, la conformité du secteur aux études élaborées par l’Institut Mauritanien des Recherches Océanographiques et des Pêches (IMROP), rendant du coup l’arrêt biologique tributaire de ces mêmes rapports ; ce qui a favorisé l’abondance de poissons capturés après chaque trêve.
La politique du ministre dans le secteur a fait aussi de ses priorités, l’amélioration des conditions des négociation avec les partenaires, aboutissant à des accords considérablement bénéfiques pour le pays et drainant des millions de devises vers le trésor public.
Grâce à ses compétences, son intégrité et son dévouement au travail, c’est incontestablement l’homme qu’il faut partout où le Président de la République lui accordera confiance.
Nous le félicitons et l’encourageons à persévérer dans cette juste et bonne voie et lui rappelons le célèbre exemple : « les chiens aboient, la caravane passe ».
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