La Banque Centrale de Mauritanie, en accord avec le FMI, s’est engagée depuis deux années dans un processus dont la finalité est de parvenir à appliquer un système de change plus flexible, pudiquement appelé « souplesse». De quoi s’agit-il ?
La transparence et la responsabilité des politiciens doivent être de rigueur. Si toutefois leurs actions politiques sont sincères et leur volonté de servir le peuple est ferme, ci-après quelques réflexions pour changer réellement la donne :
« Je suis patient et tolérant, mais à partir de cet instant, je n’admettrai plus qu’aucun fonctionnaire participe à une réunion tribale. » Le président de la République
Mahfoudh JIYID, le directeur général de l’Office national du Tourisme sortant est aujourd’hui reconnu comme une figure emblématique du développement du tourisme en Mauritanie.
Le 30 octobre, le Président Xi Jinping a rencontré le Président américain Donald Trump à Busan, en Corée du Sud. Les deux dirigeants ont eu des échanges approfondis sur des questions stratégiques concernant les relations sino-américaines, ainsi que sur des questions majeures d'intérêt commun.
Depuis 1979, et la signature du traité d’Alger mettant fin à notre implication dans le conflit du Sahara occidental, la Mauritanie a adopté une position de neutralité. Une posture responsable, respectée, qui a protégé notre stabilité et permis de préserver des relations équilibrées avec nos voisins.
Sébastien Lecornu est-il revenu plus fort, au point de faire de l’ombre à Emmanuel Macron lui-même ? L’interview qu’il a accordée au journal de 20 h de France 2* a sonné comme un retour calculé, presque stratégique, dans un paysage politique en perte de repères. Homme du sérail, Lecornu a tenu à rappeler son parcours : « Je suis un homme politique.
Il n’y a pas si longtemps, obtenir un simple document d’état civil relevait du parcours du combattant. Il fallait s’armer de patience, d’endurance, et souvent d’une bonne dose de résignation.
La France traverse une crise politique sans précédent, consécutive à une dissolution ratée de l’Assemblée nationale, en juin 2024, qui fait que le Président se retrouve sans majorité.