Remise à Atar des prix feu Habib Ould Mahfoudh pour les meilleurs articles de presse pour l’année 2020

sam, 08/02/2020 - 20:12

 

AMI

Les prix de feu Habib Ould Mahfoudh pour les meilleurs articles de presse pour l’année 2020 en langues arabe et française ont été remis, samedi à Atar, lors d’une cérémonie supervisée par la fondation portant de nom de cet éminent journaliste, organisé à l’Hôtel de ville d’Atar.

Le prix Habib Ould Mahfoudh pour le meilleur article écrit en arabe a dédié au journaliste Mohamed Salem Ould Yahya, tandis que son collègue, M. Yéro Amel Ndiaye, a reçu, quant à lui, le même prix pour son article écrit en français.

L’édition 2020 de cette cérémonie annuelle, comme ses précédentes, fut l’occasion de faire un portrait du défunt, d’évoquer les immenses qualités humaines de journaliste hors du commun qui était d’une sagacité phénoménale et avait une plume lumineuse.

La cérémonie a donné lieu à la présentation des actions culturelles et caritatives menées par la fondation Habib Ould Mahfoudh depuis le décès de ce dernier en 2001. Des extraits des textes enregistrés lus par des journalistes contemporains, ont été diffusés à l’auditoire afin de jeter la lumière sur le parcours exemplaire du défunt.

Des récompenses ont été aussi offertes à certains éminents érudits de la ville d’Atar, qui furent unanimes à saluer le talent de celui qui écrivit sur l’Adrar et sur Atar.

L’adjoint au maire d’Atar, M. Melainine Ould Saadbouh, s’est réjoui du choix de sa commune pour accueillir l’édition 2020 de cet évènement annuel.

Quant à la fille du défunt, Toutou Mint Habib Ould Mahfoudh, a adressé ses remerciements aux habitants de la ville, comme à sa mairie pour la noblesse des sentiments exprimés à l’égard de son père, promettant d’organiser les prochaines éditions dans d’autres villes du pays.

La cérémonie s’est déroulée en présence du hakem mouçaid de la moughataa d’Atar, de la veuve du défunt et présidente de sa Fondation, Mme Taghla Mint Abeidalla, du président d’honneur de la fondation, M. Sidna Ould Abdel Vettah, et de certains membres de la Fondation Habib Ould Mahfoudh.