Le délégué régional pour la solidarité nationale et la lutte contre l’exclusion, Mohamed O. Bouassria a déclaré que son institution prendra en charge 50% des besoins du pays pour la lutte contre malnutrition des enfants pour l’année en cours et 75% des besoins l’année prochaine.
Le délégué s’exprimait hier lors de la signature d’une convention pour la prise en charge des enfants malnutris entre le ministère de la santé, la délégation (TAAZOUR) et le fonds des nations unies pour l’enfance (UNICEF).
Ould Bouassria a ajouté que le coût des besoins du pays pour la lutte contre la malnutrition atteindra 2,5 millions de dollars, soit près de 912 millions d’anciennes ouguiyas.
Il a estimé que cet accord constitue la première approche de partenariat entre certains départements ministériels et les partenaires au développement destinée à garantir les intrants pour la lutte contre la malnutrition.
Le délégué général a encore dit que la malnutrition constitue un défi mondial pour la santé humaine et qu’aucun pays n’est à l’abri de ce phénomène.
Celui-ci constitue un fardeau important pour le développement économique et social pour les personnes, leurs familles et leur pays, notamment les pays à revenus faibles et moyens.