La Délégation Régionale à la Culture, à la Jeunesse et aux Sports de la wilaya du Guidimagha, en coopération avec le projet de tolérance et de promotion du dialogue interculturel, a lancé samedi, à la Maison des Jeunes de la ville de Sélibabi, une formation de deux jours sur les techniques de communication et le renforcement de la cohésion sociale.
Ce cours vise à améliorer la communication entre les jeunes des différentes composantes nationales, notamment les membres actifs des associations de jeunesse et de la société civile, afin de renforcer la cohésion sociale et de consolider l’unité nationale.
Le conseiller du wali chargé des Affaires Sociales et du Développement Local, M. Sidi Mohamed Ould Abderrahmane, a exprimé, à cette occasion, l’importance particulière qu’occupe la frange des jeunes et ce qu’elle peut apporter dans le cadre du projet de construction du pays, étant donné les grandes énergies et la force créatrice dont disposent les jeunes dans divers domaines, notamment les membres des associations de jeunesse et de la société civile.
Il a ajouté que ces énergies sont une arme à double tranchant, car mal utilisées, à Dieu ne plaise, elles peuvent être exploitées dans des domaines négatifs tels que l’extrémisme, la drogue et d’autres voies destructrices. C’est ce risque majeur dont Son Excellence le Président de la République République, M. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, s’en est rendu compte très tôt, car la jeunesse occupe la place la plus importante dans son programme électoral, ce que le gouvernement du Premier ministre Mohamed Bilal Messoud cherche à traduire en programmes de développement clairement définis.
Quant au directeur régional de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, M. Nafaa Kotl, il a relevé l’importance de cette session de formation, qui vise à améliorer la communication et à consolider la cohésion sociale entre les jeunes qui ont une nouvelle vision qui transcende les aspects négatifs et profite des avantages de l’époque tout en préservant les valeurs sociales.
Il a ajouté qu’armer les jeunes de ces technologies est nécessaire, d’autant plus que l’effort de conscientisation et de sensibilisation sociale leur incombe, car ils sont actifs dans les associations de jeunesse et la société civile, ce qui aura un impact positif sur la vie des jeunes.