S’il y eut parfois – de fait sporadiquement – des outrances dans l’utilisation des esclaves en Islam (1), y suscitant des révoltes sanglantes, à l’instar, dans la seconde moitié du 8ème siècle, de celles de Zandjs surexploités en de vastes domaines fonciers au cœur des marais irakiens, la vigueur, très argumentée, de leur condamnation par les plus é