Perspectives Med - La question des « séquelles » de l’esclavage, officiellement aboli en 1981 en Mauritanie et considéré comme un délit seulement depuis 2007, constitue un sujet de tensions récurrent entre les autorités et les organisations de défense des droits humains, qui déplorent des survivances du phénomène.

La Mauritanie, pays  trompeur par ses airs apparents de stabilité et de tranquillité, est en réalité l’un des pays de l’Afrique de l’Ouest les plus bouillonnant de l’intérieur et une poudrière dont retient bien l’explosion un savent mélange  de religiosité modérée et d’un pacifisme ancré dans la culture et positivement traduit dans le comportement et

Depuis 1990, des mauritaniens se sont investis pour opposer à l’impunité affichée du régime et de ses valets, la lumière et la justice face aux crimes de sang commis un 28 Novembre 1990. Un refus. Refus de l'oubli et de l’impunité. Cela sonne comme un rappel, une exigence.

 L’ancien ministre Ahmed Ould Sidi Baba a déclaré que les événements de 1989 entre la Mauritanie et le Sénégal, constituaient une discrimination ethnique débutés, par des agressions et attaques lancées par des sénégalais contre les commerçants mauritaniens.

La Mauritanie, pays trompeur par ses airs apparents de stabilité et de tranquillité, est en réalité l’un des pays de l’Afrique de l’Ouest les plus bouillonnant de l’intérieur et une poudrière dont retient bien l’explosion un savent mélange de religiosité modérée et d’un pacifisme ancré dans la culture et positivemen

Y’en a marre de ces initiatives de soutien qui , au nom de la région où de la tribu vont , de temps en temps , à contresens du sens de l’Histoire et du bon sens .

Il est grand temps d’en finir avec ces vielles recettes de la politique politicienne que le parti unique avait légué à son monstrueux successeur : le parti ethnique .

Le Calame - Le grade confère à celui qui le porte une aptitude au commandement d’une unité militaire.

Leral - La Mauritanie s'apprête à accueillir Youssou Ndour pour un méga concert, prévu le 14 mai prochain, au Monotel Dar El Barka.

Faire fi de la constitution de son pays, voilà une page qui est bien difficile à tourner pour un pays. Pourtant, l’engagement du président Aziz à céder le fauteuil dès la fin de son second mandat énoncé à plusieurs reprises semble être relégué aux oubliettes.

L’Occident n’a eu aucun moyen politique ou juridique pour donner des injonctions à la Syrie, quitte à la libérer où de se libérer de son président Bachar Al Assad. L’agenda politique de l’Occident n’a pas été celui de la logique bédouine de nos pays arabes.